Parents indigne!

Jean était en se moment sorti de la chambre 104 où se trouvé son second patient attitré. Le premier se nommait Raphaël Jackson c'est un jeune aurore qui avait quelques ennuis lors de la dernière bataille mais qui ne devrait pas resté longtemps. Sont second patient était un jeune garçon apellait Philippe qui avait une mauvaise rencontre avec un loup une nuit de pleine lune.

Jean avait déjà réussit a s'imposer comme un bon très médicomage même si certain continué a le considéré comme un bleu.

Jean jeta un regard noir qui donnait des frissons a tous ce qui le voyait en regardant la famille du petit qui partait. Des fois les gens sont vraiment immonde, la famille était venu voir comment allé le gosse qui était arrivé hier soir et Jean avait passé toute la nuit en s'en occuper. Il avait eu le malheur, le fils étant son patient, d'annonçai a sa famille le verdict: le gosse était à partir de maintenant un loup-garou.

La famille avait clairement montré son dégoût face à cette bête immonde et sanguinaire qui ne mérite pas de vivre en reprenant leurs mots. Mais le pire c'est qu'ils avait fait leurs petit discours face aux gamin qui ne comprenait pas se qui lui était arrivé. A leur départ le petit les avait prié de rester mais les parents et les deux frères du gamin étaient partit en disant qu'il n'avait jamais eu de troisième fils. Le médicomage les avait suivi pour les résonner mais rien à faire, il avait juste réussi à se prendre un tas d'insultes.

Il tourna son regard dans le couloir et toute les personnes qui le connaissé ne dire rien ne voulant pas s'accorder ses foudres. Le jeune médicomage rentra dans la chambre du gamin énervé par l'attitude des parents.

Le jeune garçon de 9 ans était roulé en boule sur le coté et pleuré abondamment, devant cette vision toute l'exaspération qu'il retenait s'échappa et il repris son petit sourire et son aura devint aussi douce cas l'accoutumé. Il se plaça devant le gamin et se dit a lui dire des paroles réconfortantes, le garçon fini par arrêté de pleuré grâce a l’aura de Jean et le médicomage se remit à la tache de vérifié l’état de la morsure….

IL défit le bandage et passa un baume dessus….

« Papa et maman ils viendront pas me chercher…. » Dit soudainement le petit garçon au teint livide.

« Mais si voyons pourquoi tu dit ça ? » demanda le médicomage qui se demandait si les paroles du gosse n’allait pas devenir véridique.

Le gosse ne répondit rien mais serrât un peu plus la couverture contre lui. Jean repoussa quelques cheveux du visage du gamin et lui dit gentiment qu’il devait se reposer et que ses parents viendraient le récupérer.

Il allait retourner a la blessure quand il se rendit conte qu’il n’avait plus de bande, il se leva donc pour allé chercher les pansements sur le chariot mais au moment où il allait ouvrir la porte celle-ci souvri…..

Et un homme au regard glacial entra dans la chambre de l'enfant. C'était Alexis, qui semblait plus agité qu'à l'accoutumé.

Il regarda d'un air intrigué le visage de l'homme avec qui il était tombé nez-à-nez. Il ressemblait énormément à ce Cédrick Estilm qu'il avait rencontré dans l'ascenseur du ministère de la magie. Ils avaient sans aucun doute un lien de parenté. Ils étaient sûrement frères voire jumeaux...

Alexis le regarda d'un air neutre en silence, ne trahissant plus la moindre émotion. Puis, sans un mot, il s'approcha du lit du garçon qui était devenu depuis peu un loup-garou.

Il se pencha au dessus du petit Philippe toujours en silence, plaçant ses mains derrière le dos.
Philippe était un cousin à lui... Du côté Beetwaks, bien entendu. Il ne le voyait pas souvent, mais il faisait partie de sa famille et était plutôt attachant comme gosse.
Alexis avait croisé ses parents en entrant. Et comme d'habitude, ces dernier lui avait lancé un regard on ne peut plus méprisant. Mais Alexis ne s'était pas géné pour leur lancer à son tour un regard à vous glacer le sang. Alexis imaginait très bien ce que les parents avaient pu dire au petit Philippe...

A présent, Alexis avait totalement oublié la présence de Jean...

Jean fut plus que surpris quand la porte s’ouvrit devant un homme au regard froid mais il n'avait rien montré en gardant son petit sourire calme...

Vu comme l'homme aux yeux gris le regarda pendant quelques secondes sans rien faire, l'air de rechercher quelque chose, il en déduisit qu'il avait du croisé son frère ou quelqu'un de sa famille.

L'homme se détourna de lui sans rien dire pour se diriger vers le gosse. Il les regarda sans rien dire, le gamin voulant visiblement se blottir contre l'homme. Il regarda l'étrange tableau calmement en espérant que l’homme n’est pas les même préjugé que les parents et visiblement sa n’avait pas l’air d’être le cas...

Le jeune médicomage se souvint soudainement pourquoi il voulait sortir donc il l'ouvrit doucement à moitié juste pour passer. Il sorti donc et attrapa tout le bris a brac dont il avait besoin et retourna dans la chambre toujours sans bruit....

Il regarda encore une foi l’homme et le petio puis s’approcha en posant calmement tout son attirail sur une petit table roulante prévu a cette effet…

« Vous êtes de la famille ? » demanda t-il calmement avec toujours son allure calme et posé contrairement a son frère qui semblait ne pas pouvoir tenir en place…

Les yeux d'Alexis roulèrent lentement sur le côté pour observer Jean.

"Oui..."

Puis il continua à regarder Philippe qui l'appelait par son prénom en pleurant. Une seule personne aurait pu dire à quel point les larmes de l'enfant touchaient Alexis. N'importe qui d'autre pouvait être convaincu qu'il était totalement insensible.

Alexis essuya les larmes de Philippe avec sa manche et se redressa. Il sembla enfin s'intéresser à l'existance de Jean et se tourna vers lui pour lui adresser la parole.

"Vous pouvez me raconter ce qui s'est passé avec les parents de ce garçon?" demanda-t-il d'une voix neutre.

Le jeune médicomage sourie toujours aussi calmement et parla d'une voie posé...

"Bien sur. Regarde le fenêtre petit"

Il tira la table vers le lit et dévoila la jambe qui avait été "mâchouillait" par le loup, malgré tout les effort de Jean la blessure n'était toujours pas belle avoir c'était donc pour sa qu'il avait demandé au bambin de tourner la tête.

"Hé bien, les parent du gosses sont arrivé il y a de cela pas longtemps." A la mention des parents du gosses sa voie c'était durci et une flamme inconnu brûlé doucement dans ses yeux montrant clairement ce qu’il pensait d’eux.

Il été penché sur le blessure et la soigné.

"Il m'on pressait pour avoir le résultat alors qu'ont était avec le gosse. Je leur est dit...mais je ne savait pas qu'ils allaient réagir ainsi."

Il se releva et regarda l'homme dans les yeux. Et parla d'une voie dure.

" Ils se sont mi a traiter le gamin de nom que je ne répéterait pas ici. Et avant de partir ils lui ont fait clairement comprendre que...... ils l'ont reniaient."

Il n'avait pas répétait la phrase ne voulant pas brusqué plus qu'il ne l'était déjà le gosse et avait préféré utiliser un mot qu'il ne connétrait peut-être pas. Ils se repencha sur la blessure et repris sa voie calme.

"J'ai éssaillait de les empêcher de parler ainsi fasse a lui de les faire sortir de la chambre rien a faire...j'ai éssaillait de les raisonné mais bon....."

Il avait fini de passait la bande et remontât le drap sur le gosse. Et se mit à parler de son étrange voie apaisante.

"Voila c'est tout tu peu tourner la tête. Il faut que tu boive cette potion, c'est dégoûtant je sais met après je te promet qu'après tu n'auras plis mal pendant un long moment."

Fit-il avec une potion couleur ambre dans la main. Il se tourna une nouvelle foi vers l'homme et lui souri de son sourire calme.

" Voila c'est tous ce que j'ai a vous dire sur ce qui c'est passé.... Dite moi les parents du gosse dise t-il des chose qu'il ne font pas?"

Lui demanda t-il en espérant qu'il comprenne le sous-entendu au fait que les parents ne voulais pas revoir le garçon.

Alexis fronça les sourcils. Ils savaient qu'ils ne reviendraient pas sur leur décision. C'était d'ailleurs pour ça qu'il était là, lui.

"Je crains que non..."

Alexis savait que Philippe ne retournerais plus jamais chez lui. Et c'était bien triste que personne d'autre que lui ne s'intéresse à son sort. Alexis ne savait pas du tout s'occuper d'enfant. Il ne savait pas se montrer tendre et réconfortant, bien au contraire.
Pourtant, il n'avait pas le choix...

Alexis sortit de la poche intérieur de son manteau une lettre. Il la sortit de son enveloppe déjà décachetée et la remit dans sa poche. Il tendit l'enveloppe où son adresse était inscrite à Jean.

"J'aimerais que vous me préveniez lorsque Philippe sera rétabli." lui dit-il de sa voix glaciale.

Alexis appréciait le calme de l'homme et sa façon de se conduire envers son patient. Il était beaucoup moins mal à l'aise qu'avec son frère.

Quand l'homme dit que les parents du gosse ne reviendraient sûrement pas le chercher, Jean c'était encore sentit s'énervé mais était resté toujours aussi calme. Comment des parents pouvait-ils faire ça? C'était une honte qu'il n'aimait pas voir...

Puis il regarda l'homme farfouiller dans ses poches pendant qu'il rangeait quelques une de ses affaires qu'il c'était servi pour soigné le bambin.

Ne prenant pas du tout garde de la voie de l'homme il attrapa la lettre toujours en souriant calmement.

"Je n'y manquerait pas."

Il retournât la lettre et lut l'adresse pour pouvoir connaître le nom de l'homme aux yeux gris.

"Alexis Beetwaks..." dit-il a voie basse pour lui même....

Ce nom lui disait quelque chose. Il réfléchi un peu en regardant toujours l'adresse. Sûrement que son frères l'avait rencontré et lui en avait parlé et sa expliquerait le fait qu'il les dévisageait en entrant.

Il sourit à Philipe calmement qui venait de boire la potion et qui faisait une grimace significative. Il récupéra le gobelet et borda l'enfant toujours en lui souriant.

Se rendant qu'il ne c'était pas présentait il tendit une main au dessus du lit du petio en souriant pas calmement juste normalement.

"Je ne me suis pas présenté, je suis Jean Estilm." dit-il malgré tout calmement....

Faut-il préciser que Jean est quelqu'un de très calme?

[Ca me fait pareil avec Oscar : je dois toujours répéter qu'il sourit!^^]

Alexis serra la main que le jeune médicomage lui tendait. Sa poigné de main n'était pas chaleureuse, mais elle était ferme. Alexis n'aimait pas serrer des mains molles.

"Enchanté." dit-il d'une voix qui n'avait rien d'enchantée.

"Merci de vous occuper de Philippe. ajouta-t-il par politesse. Je crois que je devrais y aller. J'ai beaucoup de travail."

Puis il se tourna vers le petit garçon et, le visage toujours aussi neutre, il le salua.

"A bientôt Philippe."

Il fit demi-tour rapidement, faisant tournoyer son long manteau, et sortit de la chambre d'un pas lent.
Le gosse le regarda partir, l'air un peu sonné. Il ne savait jamais trop comment prendre le comportement d'Alexis, comme beaucoup.